Pour l’écrivain autrichien Robert Musil, qui a traité à maintes reprises de la question, la bêtise ne représentait rien de moins qu’une calamité affligeant les sociétés modernes. Le constat des chercheurs en gestion André Spicer, doyen et professeur de comportement organisationnel à la Bayes Business School, et Matts Alvesson, professeur suédois de sciences de gestion à l’université de Lund, dans un ouvrage qu’ils publient en 2012 est à peine plus réjouissant. Selon ces derniers, les organisations du travail contemporaines seraient atteintes de la fâcheuse tendance à produire autant de bêtise – si ce n’est plus – que de savoirs et de connaissances.
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