La filière nucléaire française illustre parfaitement la désindustrialisation du pays. Elle a perdu au cours des deux dernières décennies une partie non négligeable de ses capacités et de ses compétences. Les errements du chantier de l’EPR de Flamanville en apportent la démonstration. Elle n’est pas en mesure aujourd’hui de réaliser un programme massif de construction de réacteurs. La redresser va demander
la mobilisation de moyens financiers et humains très importants.
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