Pour rétablir, un peu, les finances du groupe public qu’il a lui même fortement dégradées et surtout rassurer les investisseurs et les partenaires, l’Etat actionnaire devrait renforcer les fonds propres de l’énergéticien via un apport d’un peu plus de 2 milliards d’euros. Une opération rapide mais modeste car elle représentera environ 7,5% du capital d’un groupe dont l’endettement dépasse 50 milliards. Mais sa valeur symbolique est importante pour montrer que l’entreprise n’est pas «lâchée» par l’Etat actionnaire.
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