Quelques jours après le placement en redressement judiciaire de son concurrent lyonnais Navya, Gilbert Gagnaire, le président du fabricant toulousain de véhicules autonomes EasyMile, décrypte pour La Tribune les défis que traverse la filière de ce secteur à forte consommation de cash, et explique l'impossibilité, pour les constructeurs de navettes autonomes dédiées au transport de passagers, de mettre en place un modèle économique réaliste. Il donne rendez-vous en 2026 avec un nouveau véhicule pour adresser à nouveau ce marché. D'ici là, il compte sur le virage industriel donné à EasyMile pour atteindre la rentabilité avec son tracteur de marchandises autonome déjà en service chez certains constructeurs automobiles et de camions. Une opportunité stratégique qu'avait écarté Navya, selon lui.
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