Intitulée « Open up ! Open up ! Effets de la science ouverte sur les organisations », la journée d’étude du 51e Congrès de l’Association des directeurs et personnels de direction des bibliothèques universitaires et de la documentation (ADBU), qui s’est tenu du 28 au 30 septembre à Caen, proposait d’examiner la place des bibliothèques universitaires (BU) dans les politiques de science ouverte et la manière dont cette nouvelle mission les transformait. Trois membres du comité d’organisation – Madeleine Géroudet, responsable du département Services à la recherche et aux chercheurs du service commun de la documentation de l’université de Lille, Julien Sempéré, directeur des bibliothèques, de l’information et de la science ouverte de l’université Paris-Saclay, et Nelly Sciardis, directrice par intérim des BU de l’université Polytechnique Hauts-de-France – décryptent pour le BBF les principaux impacts sur les établissements de cette activité et les enseignements qu’il est possible de retirer des expériences et modèles de fonctionnement présentés pendant le congrès.
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« La science ouverte est une nouvelle façon de diffuser les savoirs, et les bibliothèques sont au cœur de cette évolution » | Bulletin des bibliothèques de France
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