Après le gaz naturel, le charbon et l'électricité, c'est au tour des cours du pétrole de flamber. Même s'il ne s'agit pas dans ce cas de records historiques. Les prix du baril ont tout de même atteint leur plus haut niveau depuis octobre 2014. C'est la conséquence à la fois de tensions géopolitiques grandissantes au Moyen-Orient et à l'est de l'Europe et de la difficulté des pays producteurs à augmenter rapidement leur production pour suivre la demande. Dans ces conditions, il est difficile d'imaginer une baisse rapide des prix des carburants à la pompe. Seul l'Etat peut se frotter les mains. Quand les prix montent, il encaisse plus de TVA et la touche même deux fois. Elle est appliquée une première fois avant la TICPE (Taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques) et une seconde fois sur le montant incluant la taxe. Un véritable effet démultiplicateur de la haute et une aberration...
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