La crise de la Covid-19 a mis en évidence l’impact de l’activité humaine sur notre environnement. Ainsi une étude a montré qu’à l’échelle mondiale, la plus forte diminution des émissions quotidiennes s’est produite le 7 avril avec une baisse globale de 17% des émissions de CO2 et de 36% des émissions provenant des transports terrestres. En France, il apparait que durant le confinement, les concentrations des principaux polluants atmosphériques ont baissé dans les grandes villes dans des proportions moyennes de 49% pour le dioxyde d’azote (NO2) et de plus de 10% pour les particules fines. Mais les effets du confinement ne sont que temporaires et il est nécessaire d’envisager des changements structurels des systèmes économiques, de transport et d’énergie pour limiter le réchauffement climatique.
Veille Scientifique et Technologique quotidienne sur les thématiques de recherche du département Cosys de
l'Université Gustave Eiffel et plus largement sur les thématiques de la ville durable.
Environ 25 000 articles issus de différentes sources, académiques, industrielles, gouvernementales, françaises et internationales.
Utilisez le moteur de recherche du blog.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire