En Chine et en Italie, « les premiers foyers épidémiques sont des zones très polluées »
Chine, Italie du Nord, Iran... « Le fait que les premiers foyers épidémiques aient été situés dans des zones très polluées n’est pas un hasard », dit la chercheuse Isabella Annesi-Maesano. La pollution aux particules fines, mais également les épandages agricoles, peuvent en effet transporter le coronavirus.
Isabella Annesi-Maesano est directrice de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) et responsable de l’équipe épidémiologie des maladies allergiques et respiratoires (Épar) de l’Institut Pierre-Louis d’épidémiologie et santé publique (IPLESP) et de Sorbonne Université.
Chine, Italie du Nord, Iran... « Le fait que les premiers foyers épidémiques aient été situés dans des zones très polluées n’est pas un hasard », dit la chercheuse Isabella Annesi-Maesano. La pollution aux particules fines, mais également les épandages agricoles, peuvent en effet transporter le coronavirus.
Isabella Annesi-Maesano est directrice de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) et responsable de l’équipe épidémiologie des maladies allergiques et respiratoires (Épar) de l’Institut Pierre-Louis d’épidémiologie et santé publique (IPLESP) et de Sorbonne Université.