Les rapporteurs concluent leur étude par plusieurs recommandations concrètes :
- Mettre en œuvre une force de réaction cyber afin de répondre aux fausses informations dans le domaine sanitaire, aux attaques contre les valeurs démocratiques et pour lutter contre les campagnes de désinformation ou d’influence de certains acteurs étrangers ;
- Investir dans la sécurité informatique des acteurs de la santé ;
- Lancer sans tarder une campagne de communication à grande échelle pour promouvoir la plateforme "cybermalveillance.fr" et diffuser les "gestes barrière numériques" ;
- Initier une communication régulière, au travers des médias, d’un top 10 des cyber-crimes constatés sur le territoire ;
- Unifier la chaîne de recueil et de traitement des plaintes en ligne, aujourd’hui de la compétence des autorités de police et de gendarmerie locales.