Mesures antipollution : « un impact positif mais non immédiat sur la qualité de l’air »
Vendredi 1er juillet, le plan de la Ville de Paris destiné à faire de la capitale une « zone de circulation restreinte », afin d’améliorer la qualité de l’air, entre dans une nouvelle phase. Après les cars, bus et poids lourds les plus anciens bannis de la capitale depuis un an, c’est au tour des véhicules utilitaires et particuliers les plus polluants d’être interdits de circulation en semaine.
Si Paris est la première ville française à mettre en place une « zone à faibles émissions », quelque 230 agglomérations européennes ont déjà pris de telles mesures, depuis déjà près de vingt ans pour certaines.
Entretien avec Antoine Montenon, chercheur à l’Institut français des sciences et technologies des transports, de l’aménagement et des réseaux (Ifsttar), et coauteur d’une enquête sur les impacts économiques et environnementaux des zones à faibles émissions en Europe.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/planete/article/2016/07/01/interdiction-des-vehicules-polluants-un-impact-positif-mais-non-immediat-sur-la-qualite-de-l-air_4962274_3244.html#YWAf3CuxUiFJkIP2.99
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