Utiliser Tillandsia capillaris comme bio-indicateur de la qualité de l’air en Amérique latine ? – ASSOCIATION COPERNIC

Utiliser Tillandsia capillaris comme bio-indicateur de la qualité de l’air en Amérique latine ? 
Des chercheurs d’une collaboration internationale, comprenant des chercheurs du laboratoire Géosciences environnement Toulouse (GET/OMP, UPS / IRD / CNRS / CNES), du Laboratoire d’études des transferts en hydrologie et environnement (LTHE/OSUG, Université Grenoble Alpes / CNRS / INPG / IRD), de l’Institut des sciences de la Terre (ISTerre/OSUG, CNRS / Université Grenoble Alpes / IRD / IFSTTAR / Université de Savoie) et du Laboratoire de spectrochimie infrarouge et raman (LASIR, Université sciences et techniques de Lille) ont montré que la plante Tillandsias capillaris ne permet pas de suivre une forte pollution métallique sur une période supérieure à 4 mois. Les chercheurs préconisent donc l’usage de prélèvements sur filtres, malgré leur coût plus élevé.
Source(s):
Schreck, E., G. Sarret, P. Oliva, A. Calas, S. Sobanska, S. Guédron, F. Barraza, D. Point, C. Huayta, R.-M. Couture, J. Prunier, M. Henry, D. Tisserand, S. Goix, J. Chincheros and G. Uzu (2016). "Is Tillandsia capillaris an efficient bioindicator of atmospheric metal and metalloid deposition? Insights from five months of monitoring in an urban mining area." Ecological Indicators 67: 227-237.