Table ronde Bug Bounty | Cloud Expo Europe – Yes We Hack
Dernière tendance en matière de cybersécurité, le Bug Bounty apporte un complément indispensable aux approches traditionnelles de la détection de failles de sécurité. Deux start-ups françaises leaders du Bug Bounty, Yes We Hack et Yogosha, viendront présenter des études de cas, ou comment ils ont hacké leurs clients !
Veille Scientifique et Technologique quotidienne sur les thématiques de recherche du département Cosys de
l'Université Gustave Eiffel et plus largement sur les thématiques de la ville durable.
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Cybersécurité : Yes We Hack chasse les bugs en Asie, Internationaliser et exporter
Cybersécurité : Yes We Hack chasse les bugs en Asie, Internationaliser et exporter
La plateforme française revendique une communauté de 15.000 « hackers éthiques » issus de 120 pays. Chargés de repérer des failles informatiques sur un périmètre défini (site Web, application mobile, objet connecté…), ces chercheurs en cybersécurité sont rémunérés par Yes We Hack pour chaque bug remonté. De leur côté, les clients paient à la start-up une licence pour bénéficier du service. Très utilisé aux Etats-Unis, ce modèle de « bug bounty » séduit un nombre croissant de grands groupes européens et asiatiques. Preuve en est, l'atterrissage réussi de la jeune pousse à Singapour.
La plateforme française revendique une communauté de 15.000 « hackers éthiques » issus de 120 pays. Chargés de repérer des failles informatiques sur un périmètre défini (site Web, application mobile, objet connecté…), ces chercheurs en cybersécurité sont rémunérés par Yes We Hack pour chaque bug remonté. De leur côté, les clients paient à la start-up une licence pour bénéficier du service. Très utilisé aux Etats-Unis, ce modèle de « bug bounty » séduit un nombre croissant de grands groupes européens et asiatiques. Preuve en est, l'atterrissage réussi de la jeune pousse à Singapour.
YesWeHack ouvre des bureaux à Rennes et contribue à l’écosystème cybersec en Bretagne – Yes We Hack
YesWeHack ouvre des bureaux à Rennes et contribue à l’écosystème cybersec en Bretagne – Yes We Hack
Depuis 2013, YesWeHack n’a cessé de croître et se renforce aujourd’hui avec de nouveaux locaux, au sein de la pépinière numérique à Cesson-Sévigné, en Bretagne, deuxième région « cybersec » après l’Ile-de France.
Depuis 2013, YesWeHack n’a cessé de croître et se renforce aujourd’hui avec de nouveaux locaux, au sein de la pépinière numérique à Cesson-Sévigné, en Bretagne, deuxième région « cybersec » après l’Ile-de France.
YesWeHack ouvre des bureaux à Rennes et contribue à l’écosystème cybersec en Bretagne – Yes We Hack
YesWeHack ouvre des bureaux à Rennes et contribue à l’écosystème cybersec en Bretagne – Yes We Hack
Depuis 2013, YesWeHack n’a cessé de croître et se renforce aujourd’hui avec de nouveaux locaux, au sein de la pépinière numérique à Cesson-Sévigné, en Bretagne, deuxième région « cybersec » après l’Ile-de France.
Depuis 2013, YesWeHack n’a cessé de croître et se renforce aujourd’hui avec de nouveaux locaux, au sein de la pépinière numérique à Cesson-Sévigné, en Bretagne, deuxième région « cybersec » après l’Ile-de France.
Cybersécurité: Yes We Hack connecte hackers et entreprises - Challenges
Cybersécurité: Yes We Hack connecte hackers et entreprises - Challenges
Guillaume Vassault-Houlière, expert en cybersécurité, a créé avec Manuel Dorme cette plateforme qui connecte les entreprises avec 12.000 hackers éthiques. Ils y testent leur sécurité informatique. Il est l'invité du Club entrepreneurs Challenges - Grant Thornton.
Guillaume Vassault-Houlière, expert en cybersécurité, a créé avec Manuel Dorme cette plateforme qui connecte les entreprises avec 12.000 hackers éthiques. Ils y testent leur sécurité informatique. Il est l'invité du Club entrepreneurs Challenges - Grant Thornton.
FIC 2019 - Bug Bounty
FIC 2019 - Bug Bounty
Pour l'édition du FIC 2019, YesWeHack organise, pour la première fois dans l'histoire du FIC, un événement dédié au Bug Bounty.
Yes We Hack bug bounty program - Yes We Hack
Pour l'édition du FIC 2019, YesWeHack organise, pour la première fois dans l'histoire du FIC, un événement dédié au Bug Bounty.
Yes We Hack bug bounty program - Yes We Hack
Cybersécurité: le recours aux "hackers éthiques" commence à se démocratiser en France - Decode Media
Cybersécurité: le recours aux "hackers éthiques" commence à se démocratiser en France - Decode Media
Ils cherchent à pénétrer les sites internet, sans que ceux-ci n’y trouvent à redire: les hackers chasseurs de primes, payés pour trouver des failles de sécurité informatique chez leurs clients, ont de plus en plus la cote. Une « prime à la faille ».Le « bug bounty » (prime à la faille) commence à faire son trou en France, comme le montrent plusieurs témoignages au Forum international de la cybersécurité (Fic) de Lille. « Au début je n’étais pas un grand fan« , explique Michel Van Den Berghe, le Pdg d’Orange Cyberdéfense. « Se faire de l’argent en allant découvrir les faiblesses des autres, au niveau déontologique on pouvait se poser la question« . « Mais c’est efficace« , poursuit celui qui emploie désormais les services de deux startups françaises spécialisées dans le « bug bounty », Yogosha (« défense », en japonais, prix de la startup au FIC 2019) et Yes We Hack (« Oui, nous piratons »).
Ils cherchent à pénétrer les sites internet, sans que ceux-ci n’y trouvent à redire: les hackers chasseurs de primes, payés pour trouver des failles de sécurité informatique chez leurs clients, ont de plus en plus la cote. Une « prime à la faille ».Le « bug bounty » (prime à la faille) commence à faire son trou en France, comme le montrent plusieurs témoignages au Forum international de la cybersécurité (Fic) de Lille. « Au début je n’étais pas un grand fan« , explique Michel Van Den Berghe, le Pdg d’Orange Cyberdéfense. « Se faire de l’argent en allant découvrir les faiblesses des autres, au niveau déontologique on pouvait se poser la question« . « Mais c’est efficace« , poursuit celui qui emploie désormais les services de deux startups françaises spécialisées dans le « bug bounty », Yogosha (« défense », en japonais, prix de la startup au FIC 2019) et Yes We Hack (« Oui, nous piratons »).
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