Cybersécurité: le recours aux "hackers éthiques" commence à se démocratiser en France - Decode Media
Ils cherchent à pénétrer les sites internet, sans que ceux-ci n’y trouvent à redire: les hackers chasseurs de primes, payés pour trouver des failles de sécurité informatique chez leurs clients, ont de plus en plus la cote. Une « prime à la faille ».Le « bug bounty » (prime à la faille) commence à faire son trou en France, comme le montrent plusieurs témoignages au Forum international de la cybersécurité (Fic) de Lille. « Au début je n’étais pas un grand fan« , explique Michel Van Den Berghe, le Pdg d’Orange Cyberdéfense. « Se faire de l’argent en allant découvrir les faiblesses des autres, au niveau déontologique on pouvait se poser la question« . « Mais c’est efficace« , poursuit celui qui emploie désormais les services de deux startups françaises spécialisées dans le « bug bounty », Yogosha (« défense », en japonais, prix de la startup au FIC 2019) et Yes We Hack (« Oui, nous piratons »).
Veille Scientifique et Technologique quotidienne sur les thématiques de recherche du département Cosys de
l'Université Gustave Eiffel et plus largement sur les thématiques de la ville durable.
Environ 25 000 articles issus de différentes sources, académiques, industrielles, gouvernementales, françaises et internationales.
Utilisez le moteur de recherche du blog.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire