Corine Pelluchon / Bénédicte Roscot |
Veille Scientifique et Technologique quotidienne sur les thématiques de recherche du département Cosys de
l'Université Gustave Eiffel et plus largement sur les thématiques de la ville durable.
Environ 25 000 articles issus de différentes sources, académiques, industrielles, gouvernementales, françaises et internationales.
Utilisez le moteur de recherche du blog.
« Hambourg : une respiration et un rendez-vous avec moi-même » - Un dimanche à Hambourg #3 | Revue
Corine Pelluchon, philosophe et professeure de philosophie à l'Université Gustave Eiffel - Les philosophes du vivant, LCP - Assemblée nation - Podcast en iVoox
Corine Pelluchon, philosophe, auteure de «L'être et la mer, pour un existentialisme écologique» - Idées
Habiter le monde à l'heure de la crise climatique, avec Achille Mbembe et Corine Pelluchon
L’espérance selon Corine Pelluchon
La "Smart City", c'est aussi le bien-être des animaux !
La "Smart City", c'est aussi le bien-être des animaux !
VIDEO. Nemo, le chien d'Emmanuel et Brigitte Macron, mis en scène pour promouvoir une proposition de loi contre les abandons d'animaux
"Bonjour ! Je suis Nemo. Mon histoire commence par un abandon." Dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux, mardi 22 décembre, la présidence met en scène Nemo, le chien adopté par Emmanuel et Brigitte Macron à leur arrivée à l'Elysée. Il est accompagné de sous-titres, qui visent à sensibiliser à la problématique des abandons d'animaux, et mettent en avant la proposition de loi de la majorité sur le sujet.
- Corine Pelluchon : "Nos territoires sont des souverainetés partagées, il nous faut trouver le moyen de cohabiter un peu mieux avec les autres vivants" Université Gustave Eiffel
- Corinne Pelluchon //Qui est l'animal ?
- Lalia ANDASMAS & l’équipe de Savoir Animal, le magazine des animaux.
Actualités du blog sur la biodiversité, cliquez ici, sur les animaux, cliquez ici
et la smart-city
Comment réparer le monde ? - Ép. 2/5 - Penser l'après
Elle rappelle la place et l'interrelation des êtres et des choses dans le monde. Corine Pelluchon, philosophe, et auteure de "Réparons le monde" (Rivages, 2020), est notre invitée aujourd'hui.
Voix majeure de la défense de la cause animale et environnementale, Corine Pelluchon est professeure d’éthique et de philosophie politique à l’université Gustave Eiffel @UGustaveEiffel et membre du Conseil scientifique de la Fondation pour la nature et l’homme de Nicolas Hulot. Elle s’est vue décerner cette année le prix Günther Anders de la pensée critique pour l’ensemble de ses travaux, un prix qui récompense des auteurs germanophones dont les œuvres portent sur les conditions de vie dans notre monde contemporain.
L’écologie, une nouvelle religion ?
"Ouvrez le 1". Covid, c’est quand la fin ? - France Info - 7 février 2021 - En replay
Avec entre autres :
Une question / Plusieurs regards : Corine Pelluchon, philosophe, professeure à l’université Gustave-Eiffel, auteure du livre Les Lumières à l’âge du vivant (éd. Seuil) ; Anne Sénéquier, psychiatre, codirectrice de l’Observatoire de la santé à l’IRIS.
L'espérance, ou la traversée de l'impossible - UP' Magazine
La vie masquée : de la distanciation sociale au destin commun
La vie masquée : de la distanciation sociale au destin commun. Pour en parler, nous recevons Corine Pelluchon, philosophe, professeure à l’université Gustave-Eiffel, spécialiste de philosophie politique et d’éthique normative @UGustaveEiffel https://t.co/oo2rZ3Vyor
— Patrick Lacour (@patlacmj) September 2, 2020
Covid-19 : se rappeler de « la profonde vulnérabilité humaine dans un monde qui a tout fait pour l’oublier » | Gènéthique
Dans une interview pour le journal Le Monde, Corine Pelluchon, professeur de philosophie à l’université Gustave Eiffel et membre du conseil scientifique de la Fondation Nicolas Hulot pour la nature et l’homme, analyse la pandémie de coronavirus comme un rappel « en premier lieu, [de] la profonde vulnérabilité humaine dans un monde qui a tout fait pour l’oublier ». Une analyse partagée dans une tribune du journal Le Figaro par Michel Maffesoli, sociologue et professeur émérite à la Sorbonne, pour qui « la pandémie de coronavirus ébranle l’idéologie progressiste des sociétés modernes et sa prétention à tout résoudre ». Un « progressisme [qui] s’employait à justifier la domination sur la nature » et dont « les réformes dites ″sociétales″ (mariage pour tous, PMA-GPA, etc.) en [sont] les formes caricaturales ». « Ambition, prétention de tout maîtriser. »