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Déforestation : les forêts primaires parmi les plus menacées

Déforestation : les forêts primaires parmi les plus menacées
Le rapport du Global Forest Watch dresse un bilan inquiétant de l'état des forêts tropicales du monde, en particulier des forêts primaires. Des chiffres bien plus alarmants que ceux présentés par la FAO quelques semaines plus tôt.

State of the World’s Forests 2020

State of the World’s Forests 2020

Deforestation and forest degradation continue to take place at alarming rates, which contributes significantly to the ongoing loss of biodiversity. Since 1990, it is estimated that 420 million hectares of forest have been lost through conversion to other land uses, although the rate of deforestation has decreased over the past three decades. Between 2015 and 2020, the rate of deforestation was estimated at 10 million hectares per year, down from 16 million hectares per year in the 1990s. The area of primary forest worldwide has decreased by over 80 million hectares since 1990....

FAO and UNEP. 2020. The State of the World’s Forests 2020. Forests, biodiversity and people. Rome.
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Réchauffement climatique : l'Inrae développe un modèle de prédiction sur la vulnérabilité des forêts

Réchauffement climatique : l'Inrae développe un modèle de prédiction sur la vulnérabilité des forêts
En comparant la gestion de l'eau par les arbres et les mousses des forêts, les chercheurs de l'Inrae ont développé un nouveau modèle de prédiction du changement climatique sur la vulnérabilité des forêts.

Adapter la gestion du pin sylvestre au changement climatique | Irstea

Adapter la gestion du pin sylvestre au changement climatique | Irstea

« Il est quasi certain que le pin sylvestre sera en grande difficulté ou disparaîtra dans une grande partie de son aire de la région PACA, parce que le climat futur ne lui conviendra pas. C’est pour cela qu’il faut d’ores et déjà commencer à rajeunir et éclaircir les peuplements et en profiter pour introduire ou favoriser d’autres essences qui résisteront mieux à un climat plus chaud et plus sec. Les forêts qui seront là dans 80 ans, c’est maintenant qu’elles se préparent. », conclut Michel Vennetier.