Si ce type d'infrastructure suscite l'engouement, son développement repose sur ses échanges avec le véhicule connecté.
Le champ d'application actuel concerne essentiellement la gestion de la circulation. « L'étape d'après consistera à combiner les informations trafic et la gestion du patrimoine routier », indique Nicolas Hautière, à la tête du département Composants et systèmes de l'université Gustave-Eiffel (ex-Ifsttar), et responsable du programme Route de 5e génération (R5G).
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