L’Autorité de sûreté nucléaire française (ASN) a décidé de se mêler des problèmes de Taishan 1. Il s’agit du premier réacteur nucléaire EPR de troisième génération à être entré en service, en Chine en décembre 2018. Il a été arrêté le 30 juillet dernier à la suite de la défaillance de pastilles garantissant l’étanchéité d’un petit nombre de gaines de combustibles. La conséquence a été une accumulation de gaz rares radioactifs dans le circuit primaire du réacteur. Pour l’ASN, tant que la lumière n’aura pas été faite sur cet incident, l’EPR français de Flamanville ne sera pas autorisé à entrer en exploitation. Ce qui de toute façon n’interviendra pas, au mieux, avant fin 2023…
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