« La transition écologique doit être notre obsession ». Le mot de la fin du ministre des Transports Jean-Baptiste Djebbari a reflété l’ambiance du cinquième congrès de l’Institut de routes, des rues et des infrastructures pour la mobilité (Idrrim), les 4 et 5 octobre à Rennes. Promesse du Pacte d’engagement signé en janvier par les professionnels que fédère cette organisation, l’heure du passage à l’acte a sonné.
L’invention d’un nouveau modèle ouvre un champ d’interrogations abyssal aux chercheurs. Vice-président de l’Université Gustave Eiffel en charge de l’accompagnement des politiques publiques, Jean-Bernard Kovarik en énumère quelques-unes : « Qui modernisera qui, entre les véhicules et les infrastructures ? Qui pilotera l’incidence carbone des mobilités, avec ses impacts sociaux et territoriaux ? Comment concilier technologie et nature ? La géo-ingénierie sauvera-t-elle les infrastructures et le climat en en transformant les les premières en corridors écologiques, en puits de carbone et en lieux de valorisation du CO2 ? »
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