Le principe de précaution, dont la pandémie a prouvé qu’il ne protège de rien mais devient une entrave, sévit depuis longtemps dans le nucléaire. Non pas que la sécurité nucléaire ne doive pas être une priorité et un état d’esprit permanent parmi les opérateurs et prestataires de la filière. Mais l’excès sans limite devient nuisible. Surtout quand comme en France, il ne répond plus qu’à une seule logique, celle de l’autorité de contrôle, l’ASN, qui entend avant tout se couvrir sans hiérarchiser et sans aucune rationalité. Un gendarme qui définit les règlements, procède à leur contrôle selon les modalités qu’il a définies, et peut faire plier le contrôlé en s’appuyant sur les médias et l’opinion publique. Article paru dans le N°9 du magazine Transitions & Energies.
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