Avec les avancées techniques, pendant les Trente Glorieuses, les vitesses pratiquées n’ont cessé d’augmenter menant, en corollaire, à une augmentation du nombre de morts sur les routes pour atteindre le triste nombre de 16 545 tués 1 en 1972 [2]. Entre la fin du XIXe siècle et l’année 1973 (date à laquelle des vitesses maximales autorisées sont définies sur l’ensemble du réseau routier), une ordonnance, des décrets et des arrêtés ont successivement fixé différentes vitesses maximales autorisées (12 km/h dans Paris en 1893, 60 km/h en agglomération en 1962, etc.) qui n’ont cessé d’augmenter, les extrêmes étant de 20 km/h en agglomération et de 140 km/h sur autoroute.
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