En théorie, la technologie d’un réacteur nucléaire au thorium et sels fondus ne présente que des avantages. Elle est bien plus sûre que celle d’un réacteur à uranium ou plutonium puisque le refroidissement ne se fait pas via un système à eau pressurisée. Il n’y a quasiment pas de déchets radioactifs et ce réacteur peut difficilement servir à fabriquer des armes atomiques. Cela explique sans doute pourquoi les investissements nécessaires à son développement n’ont jamais été suffisants. Mais la Chine a décidé de le faire depuis une dizaine d’années et promet aujourd’hui un réacteur parfaitement opérationnel d’ici 2030. Si c’est le cas, l’avenir de l’énergie nucléaire pourrait en être changé.
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