La France, l’Allemagne, l’Espagne, la Chine, la Corée du sud ont annoncé des plans ambitieux de développement de filières et d’économies de l’hydrogène. Mais ils sont loin par leur ampleur et leur ambition de celui qui se met en place aujourd’hui au Japon. Il mobilise une grande partie des groupes industriels de l’archipel et s’apparente à une sorte de quitte ou double technologique et économique. Car le Japon disposant de peu de ressources sur son sol et très dépendant des énergies fossiles importées n’a pas d’autre stratégie de transition possible.
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