Un bras de fer oppose depuis des mois au sein de l’Union Européenne, les pays partisans et adversaires de l’énergie nucléaire. Les premiers, dont la France, souhaitent que cette source d’énergie, qui émet très peu de CO2, soit intégrée à la liste des énergies dites durables, c’est-à-dire qui ne perturbent pas le climat. Cela facilite grandement leur financement. Les seconds, dont l’Allemagne, ne veulent pas en entendre parler en considérant cette énergie comme dangereuse pour l’environnement et en étant sensible à des opinions publiques toujours effrayées par l’atome. Un rapport d’expert vient pour la première fois de donner raison aux partisans du nucléaire. Mais la partie est encore loin d’être gagnée.
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