La qualité de l’air résulte d’un processus complexe entre les émissions, l’import et les phénomènes météorologiques. Bien qu’elle ne cesse de s’améliorer sous l’effet des réglementations et des technologies de dépollution toujours plus performantes, des dépassements de normes relatives à la qualité de l'air sont toujours constatées sur les NOx, les particules fines et l’ozone dans certaines grandes villes d’Europe. Cet article a pour but de comprendre l’empreinte atmosphérique des émissions automobiles. Pour ce faire, l’étude Anses de 2019 sera prise en référence et des enseignements seront tirés de l’effet de la réduction drastique du trafic durant le confinement sanitaire lié à la Covid-19.
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