Extrait de l'article :
"Il faut selon elle travailler sur « la gestion à plus long terme » des « pollutions diffuses » engendrées par de tels événements et « regarder les outils » dont on dispose pour évaluer l’impact sur la qualité de l’air, de l’eau, des sols et des produits agricoles. « La méthodologie est perfectible ».
« Sur les risques technologiques on est en retard sur l’association des populations », a-t-elle ajouté : « pourquoi des analyses ne seraient-elles pas menées par des associations indépendantes ou d’autres organismes publics pour que tout le monde ait le sentiment d’être partie prenante ? », a-t-elle proposé."