Derrière les radars, endommagés ou non, un véritable business
Durant les protestations des Gilets Jaunes, plusieurs actes de vandalisme ont été commis sur des radars fixes. Pour l'Etat, le coût des dégâts est élevé. Dans l'Hexagone, ce sont les entreprises privées qui se partagent ce marché. Parmi elles, les Français Idemia et Cegelec, issus de grands groupes, et l'Allemand Vitronic.
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