Les investissements climat nécessiteraient 55 à 85 milliards d'euros en plus par an
Si les investissements pour la lutte contre le changement climatique ont progressé depuis 2014, ils restent insuffisants, selon l'Institute for climate economics. En particulier pour la rénovation des logements, du tertiaire et des véhicules verts.Les investissements climat accordés, atteignent en 2018, 41,4 milliards d'euros, selon la dernière édition du panorama réalisé par le think tank, l'Institute for climate economics (I4CE). Ces derniers ont connu une progression de 17 % au cours des trois dernières années. Cette hausse a surtout profité au secteur de l'efficacité énergétique.
Dans le détail, 20 milliards d'euros sont consacrés à l'efficacité énergétique, 6,6 milliards d'euros au déploiement des énergies renouvelables, 10 milliards d'euros à la construction d'infrastructures durables dans le secteur des transports et des réseaux, et 2 milliards d'euros dans la forêt et les procédés industriels non-énergétiques. Le think tank a également inclus dans le recensement les investissements dans le développement et la prolongation du parc nucléaire : ces derniers atteignent 2,8 milliards d'euros.
Si les investissements pour la lutte contre le changement climatique ont progressé depuis 2014, ils restent insuffisants, selon l'Institute for climate economics. En particulier pour la rénovation des logements, du tertiaire et des véhicules verts.Les investissements climat accordés, atteignent en 2018, 41,4 milliards d'euros, selon la dernière édition du panorama réalisé par le think tank, l'Institute for climate economics (I4CE). Ces derniers ont connu une progression de 17 % au cours des trois dernières années. Cette hausse a surtout profité au secteur de l'efficacité énergétique.
Dans le détail, 20 milliards d'euros sont consacrés à l'efficacité énergétique, 6,6 milliards d'euros au déploiement des énergies renouvelables, 10 milliards d'euros à la construction d'infrastructures durables dans le secteur des transports et des réseaux, et 2 milliards d'euros dans la forêt et les procédés industriels non-énergétiques. Le think tank a également inclus dans le recensement les investissements dans le développement et la prolongation du parc nucléaire : ces derniers atteignent 2,8 milliards d'euros.