Extraits du texte de l'article :
"Depuis 2016 la gestion de l’eau potable relève juridiquement des 12 EPT qui composent la Métropole. Or 11 d’entre eux ne disposent pas des infrastructures de production et de distribution nécessaires à la mise en œuvre d’une politique globale de l’eau.
Cette organisation territoriale favorise, des velléités de séparation à l’intérieur des grands ensembles existants. 3 EPT ont ainsi choisi de ne plus adhérer au Sedif et de se donner 2 ans pour réfléchir à l’opportunité d’organiser une gestion en régie. Cela nécessiterait d’important travaux.
Outre son coût, la séparation des réseaux est à rebours du choix opéré par d’autres métropoles de taille comparable (Londres, Tokyo, New York) de se doter d’une entité unique de gestion des infrastructures."
Rapport d'observations définitives
Date de communicabilité : 27.06.2018