Comment la simulation rend plus intelligents les véhicules autonomes... et vice versa
En 2015, une demi-douzaine de voitures paradaient en mode automatique aux abords du salon des systèmes et services de transport intelligents (ITS) de Bordeaux. Constructeurs, équipementiers, ingénieristes, chacun y est allé de son démonstrateur. La course vers le véhicule autonome n’en est pas terminée pour autant. De nombreux défis restent à relever, notamment dans le domaine de la simulation, car le véhicule autonome n’est pas encore prêt à passer entre les mains de monsieur Tout-le-monde. « Les technologies d’automatisation existent. Ce qu’il reste à faire, c’est réduire leur coût, mais aussi s’assurer qu’elles fonctionnent dans toutes les situations », résume Marc Charlet, le directeur général du pôle de compétitivité Mov’eo.
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