Affichage des articles dont le libellé est publications chercheurs. Afficher tous les articles
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Open access funding guide for researchers | Open Science

Open access funding guide for researchers | Open Science
Do you really need a load of gold to pay for a gold open access publication?
Last week a colleague was asking how to find good quality open access journals with reasonable fees in his research domain. Having previous experience with submitting manuscripts to various journals, this researcher was feeling confused by the differences in the costs and policies related to Article Processing Charges (APCs).[2] We both work in universities which still do not have a regulated stream to support the publishing fees for gold open access publications. Could one conclude that this restricts academics to solely use the green open access route? Here I present some helpful hints for tapping into financial support for gold open access.

Preprint, postprint et reprint entrent dans le jargon de la loi pour une République numérique | LaLIST

Preprint, postprint et reprint entrent dans le jargon de la loi pour une République numérique | LaLIST


« Nous devons rapidement nous habituer à publier en libre accès, suite aux directives européennes, et à la loi du 8 octobre 2016. Le CNRS a la bonne idée de nous aider en publiant en octobre 2016 un livre blanc de 96 pages « Une science ouverte dans une république numérique« . Je cite : Ce Guide constitue un rapport des commentaires et d’analyse des articles 30 et Une scie 38 de la loi pour une République numérique, qui introduit en droit français les bases légales d’une science ouverte en créant :
  • un droit de mise à disposition des publications scientifiques après le respect d’une période d’embargo (article 30) ;
  • un droit à l’exploration ou à la fouille de textes et de données aux fins de recherche publique par le biais d’une exception au droit d’auteur et au droit du producteur de base de données (article 38). (…) »

Les dérives de la publication dans les milieux de la recherche scientifique : Knowckers

Les dérives de la publication dans les milieux de la recherche scientifique : Knowckers
Les grands éditeurs de revues scientifiques s’appuient sur 3 services pour justifier leur existence et le coût qu’ils représentent pour la recherche et sa lecture : la préparation éditoriale, la validation par les pairs (peer review) et la diffusion des articles (soit par hébergement en accès libre, soit sur abonnements).
Les articles des scientifiques sont relus par d’autres scientifiques, et sélectionnés – ou non – pour être publiés. Cela représente une manne de 7 à 10 milliards d’euros au niveau mondial, avec des marges qui vont souvent jusqu’à 30 %. Mais il y a de nombreuses failles dans cette pratique, utilisées avec des objectifs et des résultats assez différents

Cinq outils pour détecter les plagiats - ZDNet

Cinq outils pour détecter les plagiats - ZDNet
Aujourd’hui, la diffusion web est un outil majeur de communication de vos travaux audio, vidéo ou texte, mais c’est souvent au détriment de vos droits d’auteur.Le Code de la propriété intellectuelle défend vos droits en tant qu’auteurs d’une œuvre intellectuelle, mais encore faut-il pouvoir repérer les atteintes à ces derniers. S’il est simple grâce à Google de détecter la copie d’une de vos photos, vidéo ou musique, leur utilisation partielle au sein d’un fichier n’est pas pour l’instant gérée par des applications performantes. Voici 5 applications pour faire respecter vos droits sur vos créations.

Ces articles aux mille et une signatures | CNRS Le journal

Ces articles aux mille et une signatures | CNRS Le journal

La signature d’articles dans des revues scientifiques est un critère important pour l’évaluation des chercheurs. Mais comment s’y retrouver quand un article comporte des dizaines, des centaines, voire des milliers de signataires ? Le sociologue David Pontille nous livre son éclairage sur cette pratique très variable d’une discipline à l’autre.

Sociologue, David Pontille est directeur de recherche au Centre de sociologie de l’innovation1.

Publier la Science - PLAS 13 - Octobre 2016 - INRA

PLAS13Publier la Science - PLAS 13 - Octobre 2016 - INRA

Edito : Pierre-Henri Duée
Recherche science reproductible désespérément...

Highlights :
- Malscience: de la fraude dans les labos
- Thomson revend le Web of Science
- Une charte Inra pour le libre accès aux publications

Reconnaître tous les contributeurs d’une publication / Actualités - Coopérer en information scientifique et technique - Cirad

Reconnaître tous les contributeurs d’une publication / Actualités - Coopérer en information scientifique et technique - Cirad
Le concept conventionnel d’auteur est de plus en plus difficile à appliquer à une publication scientifique. Il ne permet pas la reconnaissance académique de tous collaborateurs ni celle des différentes activités d'un projet de recherche.
La taxonomie CRediT précise le concept de contributeur en listant 14 types de contribution avec leurs activités associées. Elle attribue de façon claire et homogène un rôle à chaque personne ayant pris part à un projet de recherche jusqu'à la publication.
Dans la fiche Reconnaître tous les contributeurs d’une publication, découvrez la taxonomie CRediT avec ses utilisations dans des revues, et adoptez la démarche CRediT dans vos activités éditoriales ou de reviewer.

INRA - Les stratégies de recherche révélées par l’analyse des publications

INRA - Les stratégies de recherche révélées par l’analyse des publications

Grâce à des outils puissants et innovants, l’analyse comparée des publications produites par l’Inra et l’USDA pendant quarante ans permet de comprendre l’histoire et le fonctionnement de ces deux grands mammouths de l’agronomie.

Financer la publication scientifique : Le « Lecteur » et/ou « l’Auteur » ? Evolutions, Alternatives

Financer la publication scientifique : Le « Lecteur » et/ou « l’Auteur » ? Evolutions, Alternatives
« L’édition scientifique internationale est entrée dans une phase d’effervescence. Les prises de position des éditeurs et des communautés de chercheurs se multiplient sur les alternatives offertes aux établissements de recherche pour le financement de la publication scientifique : financement « par l’auteur » (APC) pour certains (anglais, néerlandais, amorce de position allemande), pour d’autres une position conciliant le financement « par le lecteur » (abonnements) et « par l’auteur » (Etats Unis, Canada, OCDE). (…) » Juin 2015 - Actualisé en septembre 2016

Commission to invest 8.5 billion euro in research and innovation in 2017 - News Alert - Research & Innovation - European Commission

Commission to invest 8.5 billion euro in research and innovation in 2017 - News Alert - Research & Innovation - European Commission
Today, the European Commission announced an investment of €8.5 billion to be released during 2017 into research and innovation, following an update to the Work Programme of Horizon 2020, the EU's research and innovation funding programme.
The updated Work Programme builds on the success of Horizon 2020 to date, but introduces important novelties. A particularly important change is the introduction of open research data  PDF icon 206 KB in all new Horizon 2020 calls and the strong commitment to research integrity and simplification as a driver for research quality. For projects funded under the programme, free online access to scientific data will become the norm. This move will boost competitiveness through open science by accelerating innovation and collaboration, improving transparency, and avoiding duplication of efforts.

Inserm, étoile montante française de la recherche selon Nature | Salle de presse | Inserm

Inserm, étoile montante française de la recherche selon Nature | Salle de presse | Inserm
L’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) est le seul organisme de recherche français à figurer dans le Top 100 mondial des institutions avec la meilleure progression ces 3 dernières années. C’est ce que révèle le Nature Index 2016 Rising Stars qui souligne la contribution importante des chercheurs de l’Inserm aux publications parues dans les 68 meilleurs journaux sélectionnés par Nature. Ce classement détermine les institutions les plus brillantes à suivre en 2016 et dans les années à venir.

Une plongée dans les données de SHERPA/RoMEO et du DOAJ – Carnet'IST

Une plongée dans les données de SHERPA/RoMEO et du DOAJ – Carnet'IST
Pour assister les chercheurs dans leur stratégie de publication et les aider à trouver ce qu’autorisent les éditeurs en matière de dépôt en archive ouverte, nous leur conseillons souvent de consulter ces 2 sites :

  • SHERPA/RoMEO, le projet RoMEO du site SHERPA qui recense la politique des éditeurs en matière d’Open Access et les catégorisent selon un code couleur (voir ici pour les détails) ;
  • le DOAJ, Directory of Open Access Journals, le répertoire incontournable des revues (à comité de lecture) en libre accès et dont l’infrastructure technique permet aussi la recherche et l’accès direct aux full-texts concernés.

Kudos une plateforme pour valoriser ses publications | Observatoire des technologies de l'IST

Kudos une plateforme pour valoriser ses publications | Observatoire des technologies de l'IST
Kudos (www.growkudos.com) est un outil assez récent pour valoriser l’impact  des articles scientifiques. Cet outil vient de gagner un prix pour l’Innovation en publication délivré par les éditeurs. [1]
[1] Kudos wins the ALPSP Award for Innovation in Publishing . http://www.stm-publishing.com/kudos-wins-the-alpsp-award-for-innovation-in-publishing/. 15/09/2015

Repères RSTI - Publications - Détail / Dérives et effets pervers de l’évaluation quantitative de la recherche : sur les mauvais usages de la bibliométrie - MEIE

Repères RSTI - Publications - Détail / Dérives et effets pervers de l’évaluation quantitative de la recherche : sur les mauvais usages de la bibliométrie - MEIE
Dans cette chronique de la Revue international PME.  Ce lien mène à un site qui n'est peut-être pas soumis au standard gouvernemental sur l'accessibilité., le professeur Yves Gingras de l’UQAM décrit les dangers que comporte l’usage simpliste qui tend à se répandre par l’utilisation mécanique d’indicateurs bibliométriques censés mesurer, de façon « objective », la productivité et l’impact des chercheurs sur le plan scientifique.

Guides pour les ouvrages en libre accès - Libre accès à l’information scientifique et technique

Guides pour les ouvrages en libre accès - Libre accès à l’information scientifique et technique
Publié le 20 août, par Thérèse HAMEAU
Deux guides sont disponibles pour accompagner la publication d’ouvrages en libre accès. L’un émane du Wellcome Trust, le second du projet OAPEN-UK. Le premier est un guide de bonnes pratiques pour les éditeurs sur les monographies et les chapitres de livres. Il y est question notamment du type d’informations à donner aux auteurs — quant à leurs droits, le coût, l’évaluation, les formats — des indications à insérer pour les lecteurs sur le statut du livre et des chapitres. Le Wellcome Trust y rappelle sa politique en faveur du Libre Accès pour les ouvrages introduite en octobre 2013.
Le second, consacré aux domaines SHS, est destiné aux chercheurs. Ce guide a comme objectif de les aider à mieux connaitre le libre accès, ses enjeux et ses opportunités. Il présente les différents modèles économiques envisageables, les aspects financiers et juridiques et les politiques des institutions.

Bibliométrie | ADBU – Association des directeurs et des personnels de direction des bibliothèques universitaires

Bibliométrie | ADBU – Association des directeurs et des personnels de direction des bibliothèques universitaires
Quelles sont les différentes métriques possibles pour évaluer la production scientifique ? Les développements technologiques autour du « big data » peuvent-ils changer la donne et faire reconnaître des approches alternatives aux mesures comme le facteur d’impact ? Interrogé par AEF mi-avril 2015, Thierry Fournier, pilote de la commission documentation et recherche de l’ADBU et en charge de l’organisation d’une journée d’information sur ce thème, en évoque l’éventualité. En cause, les sources de citation sur le web qui se multiplient, avec les blogs ou les réseaux sociaux, mais aussi l’intérêt de mesurer plus finement les usages des productions scientifiques, qui se fait de plus en plus sentir. AEF fait le point sur les pratiques en place, et les évolutions attendues.