"Dynamique de diversification" et "saturation organisationnelle" caractérisent l’ESR européen, selon Christine Musselin, sociologue et directrice de recherche au CNRS/CSO lors du colloque de l’association Europa, organisé fin novembre à Limoges. À l’échelle du continent, les alliances d’universités "sont à géométrie variable" et se font "en dehors des logiques de territoire". En France, si les EPE ont permis de "tester de nouveaux modèles de gouvernances, pour renforcer l’attractivité et la compétitivité", une "évaluation va être nécessaire" selon l’ancienne ministre de l’ESR Sylvie Retailleau.
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