Face au défi climatique, le ralentissement des échanges internationaux de marchandises apparaît comme une piste prometteuse. Cependant, le lien entre moindre intensité du commerce mondial et baisse de l’empreinte carbone est moins évident qu’il n’y paraît. Explications avec Cecilia Bellora, économiste au Centre d’études prospectives et d’informations internationales (CEPII), en charge du programme scientifique Politiques commerciales, qui répond aux questions d’Isabelle Bensidoun, adjointe au directeur.
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