Si les femmes sont majoritaires à l’entrée à l’Université, on note une déperdition au fur et à mesure que l’on monte dans la hiérarchie. Elles représentent ainsi aujourd’hui seulement 24 % des directeurs de recherche. Pour Eslem Ben Arous, docteure en archéologie et géochronologie1 au Muséum national d’Histoire naturelle, les raisons sont nombreuses et des actions peuvent être menées pour remédier à cet état de fait. A l’occasion de la journée internationale des femmes et des filles de sciences du 11 février, celle qui participa à l’édition 2019 du concours « Ma thèse en 180 secondes » revient, pour le site de la CPU, sur son parcours et sur son attrait pour la recherche. Elle expose également de nombreuses pistes pour remédier à la « ségrégation verticale » et donner aux femmes la place qui leur revient dans la recherche française.
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Les femmes dans la recherche scientifique : pour Eslem Ben Arous, docteure en archéologie et géochronologie, du chemin reste à parcourir pour leur permettre d’accéder à « des postes à responsabilités » ! | CPU - Conférence des présidents d'université
Les femmes dans la recherche scientifique : pour Eslem Ben Arous, docteure en archéologie et géochronologie, du chemin reste à parcourir pour leur permettre d’accéder à « des postes à responsabilités » ! | CPU - Conférence des présidents d'université
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