La pandémie a marqué l’accélération d’un phénomène diffus depuis les années 1990 qui voit des populations de plus en plus nombreuses quitter les villes. Même si l’Insee a toujours minoré le phénomène. Des comportements qualifiés des noms barbares de périurbanisation puis de rurbanisation. Une certitude, les métropoles ont perdu de leur attractivité et les «exilés urbains» sont de plus en plus nombreux.
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