Les confinements ont permis de mener une expérience sans précédent en grandeur réelle. Mesurer l’impact réel des transports sur la pollution atmosphérique dans les villes. Conclusion, si la circulation routière contribue évidemment à répandre des particules fines, du dioxyde d’azote et de l’ozone dans l’atmosphère, c’est dans des proportions bien moindres que l’affirment sans cesse les adversaires des véhicules motorisés. Et parfois, les effets sont marginaux. Ainsi, les proclamations d’une baisse spectaculaire de la pollution atmosphérique au début de l’année 2020 étaient très exagérées. Les graphiques d’Airparif pendant les deux confinements le montre tout comme une étude récente de chercheurs de l’Université de Birmingham sur 11 grandes villes dans le monde.
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