Cybersécurité : Yes We Hack chasse les bugs en Asie, Internationaliser et exporter
La plateforme française revendique une communauté de 15.000 « hackers éthiques » issus de 120 pays. Chargés de repérer des failles informatiques sur un périmètre défini (site Web, application mobile, objet connecté…), ces chercheurs en cybersécurité sont rémunérés par Yes We Hack pour chaque bug remonté. De leur côté, les clients paient à la start-up une licence pour bénéficier du service. Très utilisé aux Etats-Unis, ce modèle de « bug bounty » séduit un nombre croissant de grands groupes européens et asiatiques. Preuve en est, l'atterrissage réussi de la jeune pousse à Singapour.
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