« Un masque par terre, en plus de générer une pollution, c’est une rupture dans notre chaîne commune de protection face au virus, car c’est potentiellement un déchet infecté que l’on met dans l’espace public, martèle le cabinet de la secrétaire d’Etat auprès de la ministre de la Transition écologique et solidaire, Brune Poirson. Il y a quelque chose d’assez paradoxal à chercher à se protéger soi-même du virus tout en participant potentiellement par ailleurs à sa propagation. »